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Giboulée de citations pour mars 2013.

mars-monotone


Des fleurs qu'en mars tu verras, peu de fruits tu mangeras.

[Dicton berrichon]

Créer est aussi difficile que d'être libre.

[Elsa Triolet]

Le grand Dieu fit les planètes et nous faisons les plats nets.

[François Rabelais]

Le sérieux, ce symptôme évident d'une mauvaise digestion.

[Friedrich Nietzsche]

On ne vit qu'une fois. Et encore...

[Marcel Achard]

Si Dieu avait fait des calculs de rentabilité, il n'aurait pas créé l'univers.

[Jacques Debardas]

Pomme mangée dans le contentement vaut mieux que perdrix dans le tourment.

[Dicton berrichon]

Il y a désormais plus de mots anglais sur les murs de Paris qu’il n’y avait de mots allemands sous l’Occupation.

[Michel Serres].

Rien n'arrête le progrès. Il s'arrête tout seul.
[Alexandre Vialatte]

Par un étrange abus des mots, ils ont nommé leur intérêt particulier l'intérêt général, et, pour assurer le succès de cette prétention, ils se sont emparés de toute la puissance sociale.

[Robespierre]

On prétend qu'il y a des honnêtes gens partout, je n'en ai cependant jamais rencontré chez les filous de ma connaissance.

[Louis-Auguste Commerson]

L’homme ne cesse de se chercher à travers l’apparence.

[Alexandre Vialatte]

Qui fait deux fois naufrage ne doit pas s'en prendre à la mer.

[Proverbe breton]

Quand les idées sont en guerre, ce sont les hommes qui meurent.

[Stanislaw Jerzy Lec]

Je vais mieux depuis que j'ai une haute opinion de moi-même.

[Jacques Debardas]

L'auteur écrit une pièce, les acteurs en jouent une autre et le public en comprend une troisième. 

[Charles Baret]

L’homme n’est pas censé ignorer la loi. Mais la loi n’est pas censée non plus ignorer l’homme.

[Stanislaw Jerzy Lec]

Si mars commence en courroux, il finira tout doux tout doux.

[Dicton]

Si de beaucoup travailler on devenait riche, les ânes auraient le bât doré.

[Proverbe]

Le ciel fit l'eau pour Jean qui pleure et le vin pour Jean qui rit.

[Marc-Antoine Desaugiers]

Le prix de la vie, quand il faut trouver l'argent pour la payer, est trop élevé pour pouvoir vivre.

[Elsa Triolet]

Le plat du jour c'est bien, à condition de savoir à quel jour remonte sa préparation.

[Pierre Dac]

Sil pleut à la Saint Aubin (1er mars), ni paille, ni foin, ni grain.

[Dicton berrichon]

Le verbe être est plus noble que le verbe avoir. 

[José Artur]

Il y a des années où on n'est pas en forme. 

[Marcel Achard]

Dépasser les limites n'est pas un moindre défaut que de rester en deçà.

[Confucius]

Le peuple peut, quand il lui plaît, changer son gouvernement, et révoquer ses mandataires.

[Robespierre] 

L'obligation de subir nous donne le droit de savoir.

[Jean Rostand] 

La mémoire c'est du souvenir en conserve.  

[Pierre Dac]

Lorsqu’on ne s’étonne plus du traçage, de la vidéosurveillance ou de la conservation des données, c’est justement le signal qu’on est entré dans un monde orwellien. 

[Alex Türk] 

Les hommes politiques, comme les couches, doivent être changés souvent, et pour les mêmes raisons.

[George-Bernard Shaw]

Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livre ni maître est dangereux.

[Confucius]

Tu veux quelque chose que tu n'as jamais eu ? Fais quelque chose que tu n'a jamais fait....

[Pierre-Michel Decordes]

Mars sec et beau remplit le tonneau.

[Dicton berrichon]

Pourvu qu’on ne plaisantât ni de Dieu, ni des prêtres, ni du roi, ni des gens en place, ni des artistes protégés par la cour, ni de tout ce qui est établi, pourvu qu’on ne dît du bien ni de Béranger, ni des journaux de l’opposition, ni de Voltaire, ni de Rousseau, ni de tout ce qui permet un peu de franc-parler ; pourvu qu’on ne parlât jamais de politique, on pouvait raisonner librement de tout.

[Stendhal]