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Bons mots de septembre. 2

Autocar scolaire campagne


Le patron constitue le plus gros obstacle à l’oisiveté au bureau.
[Scott Adams]

Il fait chaud certes, mais ça pourrait être pire. Par exemple, Il pourrait neiger. Et déneiger par cette chaleur, ça serait vraiment trop pénible...
[Berlaudiot]

Suivez le druide ! 
[Jacques Prévert]

Dis maman, les jets privés, ça pollue autant ou moins qu'un ticket de caisse ?
[César Castique]

Il n'y a pas plus d'analphabètes dans l'enseignement qu’ailleurs.
[Guy Bedos]

La peur naît de l'espoir.
[Joyce Carol Oates]

Quand le sage pointe les dividendes versés aux actionnaires, l'idiot s'indigne des aides versées aux pauvres.
[César Castique]

Je ne suis jamais entré dans un bureau sans me demander comment m'en échapper.
[Jacques Sternberg]

L'enfer est vide, tous les démons sont ici.
[William Shakespeare]

Se taire en classe, c'est respecter le sommeil des autres.
[César Castique]

Moi qui lis, j'aurai vécu infiniment plus longtemps que quelqu'un qui ne lit pas.
[Italo Calvino]

Soldats de Fontenoy, vous n'êtes pas tombés dans l'oreille d'un sourd.
[Jacques Prévert]

On ne sait jamais ce qu'il y a dans la tête des élèves à part ce que nous y avons mis.
[Gersende Benchemoul]

Les nazis n’ont pas perdu la guerre, ils ont simplement sacrifié l’Allemagne.
[Hannah Arendt]

La mort n'est rien, ni pour les vivants, puisqu'elle n'est pas là tant qu'ils vivent, ni pour les morts, puisqu'ils ne sont plus. Avoir peur de la mort, c'est avoir peur de rien.
[André Comte-Sponville]

On se demande si les touristes chinois savent que les souvenirs de Paris qu'ils achètent viennent de chez eux.
[César Castique]

La chenille devient papillon et le cochon saucisson, c'est la loi de la nature. 
[Bérangère de Briquey-Debrooke]

Nous ne sommes pas pauvres, nous sommes volés !
[Pancarte de manif']

Quelle inquiétude lorsqu'on n'est pas sûr de ses doutes... 
[Emil Cioran]

J'aime l'humanité tout entière, mais c'est les gens que j'aime pas.
[César Castique]

Le facteur ne sonne plus deux fois, il ne sonne plus du tout. Le facteur ne sonne plus parce qu’il se fait rare.
[Bernard Gensane]

Par pudeur le riche se cache pour bien manger et le pauvre pour avoir faim à son aise.
[Mouloud Ferraoun]

Faire la moitié du travail. Le reste se fera tout seul. 
[Jean Cocteau]

Le cerveau est un organe merveilleux qui se met en marche au moment où vous vous réveillez et s'arrête au moment précis où vous arrivez au bureau.
[Robert Frost]

Comme je ne suis pas payé en fonction de ce que je fais, je fais en fonction de ce que je suis payé.
[Georges Wolinski]

Nous sommes voisins pour le paradis et non pour la contrariété.
[Proverbe kabyle]

Quand j'achète quelque chose, je ne l'achète pas avec de l'argent, mais avec le temps de ma vie que j'ai utilisé pour le gagner.
[José Mujica]

L'erreur est d'associer le désespoir avec le malheur. Au contraire le désespoir est la source du bonheur, ce que j'appelle le gai désespoir, le bonheur désespérément. 
[André Comte-Sponville]

Maintenant que nous avons appris à voler dans les airs comme des oiseaux et plonger dans les mers comme des poissons, il ne nous reste plus qu'à apprendre à vivre sur terre comme des humains.
[George Bernard Shaw]

Les miroirs feraient bien de réfléchir avant de renvoyer les images.
[Jean Cocteau]

On quitte quelqu'un de bien en recherchant quelqu'un de mieux et on finit avec quelqu'un de pire.
[César Castique]

Écoles : établissements où l'on apprend à des enfants ce qu'il leur est indispensable de savoir pour devenir des professeurs.
[Sacha Guitry]