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Bons mots de novembre.

Novembre copie


En novembre mieux vaut se couvrir de flanelle que de honte.
[Louis-Auguste Commerson]

Le bonheur des peuples ne peut se faire en écartant les peuples.
[Jacques Cotta]

Les hommes font des plans et Dieu rigole.
[Proverbe juif]

La liberté c'est l'indépendance de la pensée.
[Épictète]

Le journal n'apprend pas toujours à penser ; trop souvent, il en dispense.
[Albert Brie]

Ce sont les premiers travestissements de la vérité qui demandent le plus d'efforts. Ensuite, on entre dans une sorte de spirale mythomane et les mensonges s'enchaînent avec naturel.
[Aurélie Boullet]

L'aventure est au coin de la rue. Ça tombe bien, je n'ai pas l'intention d'aller plus loin.
[Philibert Humm]

Ma préférence personnelle va à une dictature libérale et non à un gouvernement démocratique dont tout libéralisme est absent. 
[Friedrich von Hayek]

On est libres et nos chiens aussi !
[Dicton bornois]

À quoi sert d'apprendre au papillon l'existence de la glace, il ne vit qu'une saison.
[Ariane Walter]

J’ai horreur des gens qui parlent pendant que je les interromps.
[Guy Bedos]

La plupart des hommes sentent que les femmes leur seront supérieures quand elles seront leurs égales.
[Albert Brie]

Parce qu’il fabrique des non-initiés, et dans le même temps les fait taire, le discours des technocrates mine la démocratie.
[Ulysse Baratin]

J'ai un ami qui ne travaille jamais entre ses repas.
[Louis-Auguste Commerson]

L'intelligence c'est la faculté d'adaptation.
[André Gide]

La difficulté de réussir ne fait qu'ajouter à la nécessité d’entreprendre. 
[Beaumarchais]

Par piperie de langage on nous tient au programme décidé, et les questions importantes sont évacuées de la discussion.
[Sandra Lucbert]

Nous sommes tous comptables de la dette publique.
[Un préfet]

L'avantage du pessimisme, c'est qu'on ne peut avoir que de bonnes surprises.
[Guy Bedos]

Parfois je me parle à moi même. Et puis on rit tous les deux.
[Séraphin Dummond]

Méfiez-vous des médias : ils peuvent vous faire adorer votre oppresseur et vous faire détester les opprimés.
[Malcolm Little]

Ce n'est pas en buvant beaucoup qu'on se grise, c'est en buvant trop.
[Louis-Auguste Commerson]

Il n’y a que la fortune pour faire d’un ruffian un honnête homme soumis aux lois.
[Jean Ray] 

Pervertir une langue, c'est pervertir l'esprit, c'est renier l'âme de la nation dans ce qu'elle a de plus intime et de plus précieux.
[Jean Dutourd]

Biliguisme : facilité de s'exprimer en anglais et de se taire en français.
[Albert Brie]

La femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
[Olympe de Gouges]

Ceux qui se taisent disent plus de choses que ceux qui parlent tout le temps.
[Octave Mirbeau]

Faites l'expérience de fermer les yeux devant l'écran de télé. Vous verrez plus clair avec vos oreilles.
[Albert Brie]

La langue est d’abord un attribut de la souveraineté et doit donc être protégée en tant que telle.
[Claire Martinot]

Méfions-nous des grands hommes.
[Gustave Eiffel]

Le journaliste d’aujourd’hui tombe trop souvent dans le filet sans risque du spectacle de l’insignifiance et lui sacrifie sa véritable mission, l’information et l’éducation.
[André Pratte]